A toute personne qui me lira, je voudrais qu’elle sache que tout en accomplissant ce rédigé j’en suis de cœur. Oui pour un rat de la bibliothèque préparant munitieusement mon prochain roman de lui-même sur l’apologie de la lecture, imaginez l’intensité de joie quand on lui permet d’en faire l’exégèse …
A priori, je tiens hermétiquement voir consciencieusement à orienter mon salut si modeste soit_ il à l’endroit de tous les acteurs en patrouille de culture, d’éducation et…Et quoi de plus émérite ! Puisque tous nous savions ce qu’il faut à celui qu ‘il faut : à la bibliothèque de villageoise reconnaissance et haute assistance.
Bibliothèque de BEREBA ,moi je tiens en tant que celui qui est en train d’écrire, je suis en long et en large redevable très redevable et redevable encore. Je sais cependant qu ‘à travers une telle subjectivité l’on serait allé jusqu’à croire que je projette à me faire plaire tel un poète. Pour toute réalité donc, je ne suis naturellement pas celui qui rit quand il fallait le cri de détresse, simplement parce que l’on m’a intimidé d’une force physique ou d’une arme me dépassant. Non ! Et non ! Il me déplait à moi de jeter des fleurs à ce qu’il ne convient car cela en serait de gratuité. Quoi qu’on dise et quoi qu’on blasphème, la bibliothèque elle, mérite à bravoure, à vaillance sa fleur honorablement étoffée.
Eh ! Mon lecteur, daigne m’excuser si je te suis trop prolixe, oui instinctivement j’aime à ergoter. C’est pour dire que tout ce dont j’ai proféré n’est qu’introductif du vif que je vais aussitôt entamer juste après ce paragraphe.
Tout est parti du cours moyen première année quand je faisais la connaissance de ce réseau de cultures mondiales à quoi l’on attribue le substantif de¨ BIBLIOTHEQUE.C’est donc à de l’année 2001 suite sur l’initiative de mon père aussi imprégné de la chose, jusqu’à l’heure actuelle et comme quitte à ce que je rende l’âme, que la largesse, la bienséance, la positivité de cette bibliothèque villageoise consistera à nourrir ma personne physique, à enrichir ma personne idéaliste à éclairer mon sens moral et à débroussailler ma grande voie spirituelle des dérives sociales en un mot elle m’a achevé d’être ce qu’; dieu veut en effet de par mes interminables lectures que de chose que j’ai découvertes !! Trop de grand personnage que j’ai enfin connu à l’interposition ; des bons nombres de philosophe emblématiques à qui personnellement je m’identifie dans le quotidien.
En ce qui concerne le volet étude ; par toutes les classes que j’ai passé moi me suivent toujours singularisé de part par distinction de lecteur, et pour cela des professeurs m’approuvaient admirablement à la différence des autres. A cet effet j’ai fini par entraîner toute une vague de camarades dans la lecture et quand il en était ainsi jante sentait fier d’entre imité.
A toute situation d’entretien scolaire ou de vie courante je viens toujours par-dessus non pas seulement par la pertinence de mes idées mais aussi par le rayonnement d’un langage appris et acquit et quant éventuellement on m’en exhorte, cela ne m’étonne aucunement puisque je sais pourquoi ceci : c’est simplement et purement légué par la bibliothèque et qui parle.
Un autre fondement est ludique : Relativement à ma typologie artistique en tant que prétentieux musicien j’ai des textes exclusifs parce que poétiques ; et qui parle de poésie cite alors la liberté d’expression d’individus !
C’est ainsi que les bienfaits de la lecture ont contribué dans mon engagement de la lutte contre l’impunité, la corruption en toutes ces dimensions. Socialement, mon souci majeur est de nécessairement passer par la voie des sans voix si réellement ces milliers d’ouvrages nous ont révélé une triste réalité de l’homme, des peuples assaillis par des boucheries de guerre, des masses impitoyablement malmenés de famines. Tous ces propos que j’avance n’ont rien d’utopique ; ils émanent des écrits réalistes issus de bibliothèque et je crois aussi n’avoir exacerbé rien. Des preuves tout à fait abonderont quand il s’agira de prôner l’adhésion impérative à la bibliothèque villageoise de BEREBA pour celui comme moi qui ai été dans trois 3 provinces du pays aussi dotées chacune d’une bibliothèque aérée que celle en comparaison. Chers amis ne vous en faites point car l’originalité de ces bibliothèques aérées réside seulement dans le fait qu’elles sont simplement vastes de construction mais si, matériellement notre bibliothèque l’emporte de par ces tas infinis, et diversifiés de tous les genres littéraires, c’est dire qu’en premier lieu, la notre ont bel et bien droit de citer
Avançons cependant qu’en dépit du succès retentissant qu’offre la dite bibliothèque, elle présente aussi bien des sentiers auxquels vous et nous devrions nous atteler en vue des perspectives plus larges pour une meilleure approche de la structure. Je voudrais croire qu’une vulgarisation de cette utilité de culture, nécessite le dévouement de tous à savoir le personnel siégeant à la localité, le lecteur, le parent concerné.
Nous aurions à nous affairer à des projets pour peu qu’ils traitent du maintien et répondent aux éventuelles aspirations.
Alors un vif souhait mais latent est de renchérir la prépondérante d’une fameuse bibliothèque développée pour s’entre transformée en un centre culturel ou instruit et analphabètes peuvent se cotonner et se donner mutuellement des idées.
Je suis d’autant convaincu qu’une bibliothèque de cette carrure plantée à BEREBA, ce serait la pêche ou le marigot refusera du monde en raison de l’excédent des adhérents.
En attendant, moi je vous prête serment pour ma part de contribution à la réédification de cette bibliothèque témoignant de tout mon être.
Oui ! Tôt ou tard ! Salut !
Kourage à SEKOUer
Sunday, July 19, 2009
POINT DE VUE DE KOURA SEKOU SUR LA BIBLIOTHEQUE DE BEREBA
Received from Burkina Faso...
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